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ACCEPTER v. tr.
XIIe siècle. Emprunté du latin acceptare, fréquentatif de accipere, « recevoir, accueillir ».
1. Consentir à recevoir quelque chose ; agréer ce qui est proposé, offert. Accepter un cadeau, un legs. Accepter des honneurs. Accepter un emploi, une charge. J'ai accepté leur invitation. Il vient d'accepter l'offre qu'on lui a faite. Les ennemis ont accepté la trêve. J'accepte vos conditions. Absolt. Il n'accepta que contraint et forcé. On lui a proposé la place, mais qui sait s'il acceptera ? DROIT. Accepter une donation, une succession, un contrat, en agréer les conditions. Par ext. Consentir à. Accepter le combat. Accepter le débat, la discussion.
2. Class. Admettre auprès de soi, agréer. Accepter quelqu'un pour gendre, pour époux.
3. Admettre, tolérer ; accueillir avec faveur. Il a su se faire accepter. Je ne puis accepter cette excuse. Il était résolu à tout accepter d'elle. Nous n'acceptons pas vos insinuations. J'ai accepté ses excuses. Je n'accepte pas qu'on mette ma parole en doute. Acceptes-tu qu'il vienne chez toi ? Il accepte de vous rencontrer. Expr. J'en accepte l'augure, voir Augure. • Par ext. Approuver. Le projet de loi a été accepté. BANQUE. Accepter une traite, une lettre de change, prendre l'engagement de la payer à échéance en faisant précéder sa signature du mot Accepté.
4. Supporter avec résignation. Accepter un échec, l'adversité, la mort. Accepter son destin.
5. Pron. Il a fini par s'accepter tel qu'il est ou, ellipt., par s'accepter, par assumer ses qualités et ses défauts.