| ARRIÈRE-TRAIN, subst. masc. A.− Partie postérieure d'un animal : 1. L'animal s'abattit sur lui. D'un coup, en fléchissant, le berger le fendit de la poitrine à l'arrière-train, et se dégagea, tout sanglant.
Pesquidoux, Chez nous,1921, p. 239. − Fam. [En parlant d'une pers.] Fesses : 2. « Ah! ça, Docteur, dit Wandrille lorsqu'il eut calé son arrière-train... »
A. Arnoux, Double chance,1958, p. 108. B.− [En parlant d'un véhicule] Partie portée par l'essieu et les roues arrière. Anton. avant-train : 3. C'était peu quand il considérait qu'il fallait s'occuper de l'avant-train, de l'arrière-train, du soc, du manche, et qu'il songeait que sa machine devait modifier l'économie agricole!
Duranty, Le Malheur d'Henriette Gérard,1860, p. 48. Rem. 1reattest. 1827 (Chateaubriand ds Lar. 19e); composé de arrière-* et de train*. PRONONC. : [aʀjε
ʀtʀ
ε
̃]. STAT. − Fréq. abs. littér. : 53. BBG. − France 1907. − Larch. 1880. − Poignon 1967. |