| AÉROGARE, subst. fém. AÉRONAUTIQUE A.− Ensemble des bâtiments d'un aéroport assurant le service des passagers des lignes aériennes, ainsi que le fret du transport aérien : Je n'en veux pour preuve que le soin avec lequel ces cités ont procédé à la construction des petites aérogares miniatures que constituent les héliports. (Jean-Marie Riche).
J'ai volé sur la première ligne internationale de transport de passagers par hélicoptères, Combat, 1ersept. 1953, p. 7, col. 5. B.− Dans une grande ville, gare desservant un aéroport, avec lequel elle est reliée par un service d'autocars ou parfois d'hélicoptères. Prononc. : [aeʀ
ɔga:ʀ]. Warn. 1968 donne, pour la finale, 2 possibilités de prononc. : [-gɑ:ʀ] avec [ɑ] post. et [-ga:ʀ] avec [a] ant. Enq. : /aeʀogaʀ/. Étymol. ET HIST. − 1938, mai « dans un aéroport, ensemble des bâtiments réservés aux voyageurs et aux marchandises » (Lar. mens. ill. : Aérogare [la Nouvelle] du Bourget... C'est le 12 novembre 1937 que la nouvelle aérogare du Bourget a été solennellement inaugurée par Albert Lebrun, président de la République).
Composé de l'élément préf. aéro-* et de gare*. BBG. − Bél. 1957. |