| ÉBRANLER, verbe trans. Étymol. et Hist. 1428 Par son esbranler et debattre (A. Chartier, L'Espérance ou consolacion des trois vertus in
Œuvres, 217 (1617) ds R.H.L., 11, 492 d'apr. Quem. Fichier); 1559 ces paroles esmeuvent et esbranlerent la plus part de l'armée de Demetrius (Amyot, Pyrrhus, 22 ds Littré); av. 1564 que cette sentence laquelle ne peut être aucunement esbranlée (Calvin, Inst. chrest., II, 6 ds Gdf. Compl.). Dér. de branler*; préf. é-*. |