ÉBLOUISSEMENT, subst. masc.
Étymol. et Hist. 1. Mil.
xves.
esblouissement « état de l'esprit en proie à une vive admiration » (
G. Chastellain,
Exposition sur vérité mal prise ds
Œuvres, éd. Kervyn de Lettenhove, t. 6, p. 262);
2. 1539 « trouble de la vue provoqué par une cause interne, souvent accompagné de vertiges » (
Est.);
3. av. 1549 « trouble momentané de la vue causé par une lumière trop vive » (
Marguerite de Navarre,
La Nativité de Jésus-Christ, 600 ds
Comédies, éd. F. E. Schneegans). Dér. du rad. du part. prés. de
éblouir*; suff.
-ment1*.