VOUIVRE, subst. fém.
Étymol. et Hist. 1. Ca 1150
wivre « serpent » (
Conte de Floire et Blancheflor, éd. J.-L. Leclanche, 1869); 2
emoit.
xiiievuivre (
Médicinaire liégeois, éd. J. Haust, p. 104, ligne 263); 1636 (
Monet,
s.v. guivre:
Vuivre, serpant volant, eclatant an feu); 1834
vouivre (
Boiste:
Vouivre, dragon, monstre fantastique), très répandu en Suisse, v.
Pierreh., dans le Jura, v.
Gdf.,
s.v. vivre, dans les dial. du Centre (
Jaub.) et de l'Est, v.
FEW t. 14, p. 487b;
2. 1306 hérald.
voivre (
Joinville,
Vie St Louis, éd. N. L. Corbett, § 217), v. aussi
guivre; 1904
vouivre (
Nouv. Lar. ill.). Var. de
guivre*.