Vireur, -euse, subst.attest. 1364 « tourne broche » un vireur de fer (B. Prost, Inv. mobiliers, I, 33 ds Romania t. 35, p. 423), attest. isolée, a) α) 1539 « celui qui tourne, qui retourne » vireurs et tourneurs de mines (Ord. de Fr. 1ersur le faict de la just., fo132 ro, Instit. ds Gdf.) − 1611, Cotgr., en partic.
β) 1800 papet. et cart. (Boiste), encore ds Quillet 1965, b) 1861 mar. « tourteau circulaire monté sur l'arbre d'une machine » (Armengaud, Moteurs à vapeur, t. 2, p. 372: le vireur a aussi pour objet de faire tourner la ligne d'arbres à bras), c) 1957 sports subst. masc. ou fém. « qui vire bien, qui prend bien les virages » ici en parlant d'une voiture une excellente vireuse (Trintignant, loc. cit.); de virer, suff. -eur2*.