| VIOLATEUR, -TRICE, subst. Étymol. et Hist. 1. 1360, 24 oct. violatour de paix (Lett. d'Edouard III, Liv. des Bouill., XVI, A. Bordeaux ds Gdf. Compl.); 2. ca 1500 de vierges violateurs (Terence en français, 139 ro, éd. 1539 ds Delb. Notes mss); 3. 1690 « celui qui a enfreint l'interdiction de pénétrer dans un endroit » (Fur.). Empr. au lat.violator « celui qui porte atteinte à », « profanateur », dér. de violare (v. violer). |