VEINULE, subst. fém.
Étymol. et Hist. 1. 1615 anat.
venules et arteres (L.
Guyon,
Suite du livre de la Beauté et santé corporelle [t. II du
Livre de Beauté...], p. 279);
cf. 1641 (
Est. de Clave,
Nouv. lum. philos., p. 84 ds
Gdf. Compl.);
2. 1763 « petit filon dans les mines » (E.
Bertrand,
Dict. univ. des fossiles propres et des fossiles accidentels, s.v. filon ds
Mél. Wartburg (W. von) t. 2 1968, p. 270);
3. 1817 bot. (S.
Gérardin,
Dict. raisonné de bot., p. 592). Empr. au lat. d'époque impériale
venula «
id. », dimin. de
vena, v.
veine.