VALLONNER, verbe
Étymol. et Hist. 1845
vallonné (d'apr.
Rob. 1985);
1. a) 1867 hortic.
vallonné « où l'on a pratiqué des vallonnements »
pelouses vallonnées (
André ds
Monit. univ., 7 juin, p. 699, 6
ecol. ds
Littré); 1877 (
Flaub.,
Cœur simple, p. 21: terrains
vallonnés comme la pelouse d'un parc);
b) 1872
vallonner « pratiquer des vallonnements » (
Littré);
2. 1871 p. anal. « creusé de rides »
figure triste, vallonnée (
Legouvé in
Journ. offic., 27 avr., p. 4178, 3
ecol.,
ibid.);
3. 1873 réfl. « (d'un terrain) être creusé de vallons » (
Berger ds
Journ. des Débats, 3 juill., 3
ep., 5
ecol. ds
Littré Suppl.);
cf. 1877 (
supra 1 a); 1909 réfl. (
Gide,
loc. cit.). Dér. de
vallon*; dés.
-er.