TEINTURERIE, subst. fém.
Étymol. et Hist. 1. 1260 « métier de teinturier »
mestier de tainturerie de Paris (
Étienne Boileau,
Métiers, éd. R. de Lespinasse et Fr. Bonnardot, LIV, VI, p. 112);
2. a) 1538 « endroit où l'on procède à la teinture »
teincturerie (
Est.);
b) 1941 « établissement où l'on procède au nettoyage, au dégraissage, ainsi qu'à la teinture des vêtements et des étoffes »
teinturerie-pressing, v.
pressing étymol. 1 a;
3. 1835 « industrie de la teinture »
négociant en épicerie ou teinturerie (
Michelet,
Journal, p. 206). Dér. de
teinturier*; suff.
-erie*.