| TALLE, subst. fém. Étymol. et Hist. xve-xvies. talle (J. Husson, Chron. de Metz, éd. H. Michelant, p. 144); puis 1549 t(h)alle (Est.). Empr. au lat.thallus « tige d'une plante garnie de ses feuilles », du gr. θ
α
λ
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ς « jeune pousse », v. thalle; cf. le synon. tallée 1892 (Guérin qui cite E. Sue) − 1925, Genevoix, Raboliot, p. 100. |