| SECOUREUR, -EUSE, adj. et subst. Étymol. et Hist. Ca 1175 secorëor (Chronique Ducs Normandie, 12817 ds T.-L.); 1383 secourerre (Eustache Deschamps, De la fragilité humaine ds
Œuvres, éd. Queux de St Hilaire et G. Raynaud, t. 2, p. 292, 529); fin xves. secoureur (Ancienneté des Juifs, Ars. 5083, f o20c ds Gdf.). Dér. de secourir*; suff. -eur2*. |