| SAINTE-BARBE, subst. fém. Étymol. et Hist. 1. 1678 mar. (Guillet, 3 opartie s.v. gardienerie: quelques-uns appellent ainsi la Sainte-Barbe); 2. 1904 « fête de la patronne des artilleurs, des sapeurs et des pompiers » (Nouv. Lar. ill.). Du n. de sainte Barbe « patronne des artilleurs et des mineurs ». |