| RUNE, subst. fém. Étymol. et Hist. 1653 (d'apr. L. Tolmer ds Fr. mod. t. 14 1946, p. 289); 1670 (d'apr. Bl.-W.2-5); 1693 (Temple,
Œuvres mêlées [trad. de l'angl.], Utrecht, 2epart., pp. 338-339). Empr. par l'intermédiaire d'une lang. scand. (dan., norv.rune, suéd. runa), à l'a. nord. rún « secret; signe magique, rune », cf. le got. rūna « secret », l'ags. rūn « secret, rune » (De Vries Anord.; NED). |