| RUDEMENT, adv. Étymol. et Hist. 1. 1213 « d'une manière malhabile » (Fet des Romains, éd. Flutre et Sneyders de Vogel, 406, 27); 2. 1262 « d'une façon rude, violente » (Rutebeuf, Le Mariage Rustebeuf, éd. E. Faral, J. Bastin, t. 1, p. 548); 1690 aller rudement en besogne (Fur.); 3. 1594 adv. « beaucoup, très » il faisoit rudement froid (Journ. Cuenin ds Pierreh.). Dér. de rude*; suff. -ment2*. |