ROSAIRE, subst. masc.
Étymol. et Hist. 1. 1495 (J.
de Vignay,
Mir. histor., XXI, 48, éd. 1531 ds
Delb. Notes ms: Saint Estienne, premier martyr lequel elle appelloit le
rosaire de paradis);
2. 1548 « objet de piété permettant de réciter trois chapelets » (
Marguerite de Navarre,
La Comédie jouée au Mont de Marsan, éd. Schneegans, 54); 1694 « suite des prières récitées sur cet objet » (
Ac.). Empr. au lat. eccl.
rosarium «
id. », propr. « guirlande de roses dont on couronnait la Vierge », en lat. class. « champ de roses ».