ROS, subst. masc.
Étymol. et Hist. 1. 1245 « dent du peigne d'un métier à tisser; interstice entre deux dents » (doc.
ap. Tailliar, Rec. d'actes des XIIeet XIIIesiècles..., p. 127);
ca 1250 (doc., Douai ds
De Poerck t. 2, p. 178);
2. 1245 « peigne d'un métier à tisser » (doc. ds
Tailliar, op. cit., p. 128); 1250 (doc., Douai ds
De Poerck t. 2, p. 179). Empl. spécialisé de
ros « roseau » (v.
roseau), le peigne des métiers à tisser se composant d'abord de deux lattes réunies par des lamelles de roseaux appelées ensuite
dents (
FEW t. 16, p. 682a;
De Poerck t. 1, p. 78).