RIDE, subst. fém.
Étymol. et Hist. I. 1. xiiies. [ms.] « fer à plisser? » (
Oustillement, II A ds
Biens d'un ménage, 208 ds T.-L.; v. aussi note, éd. U. Nyström, p. 215);
2. av. 1488
ridde « pli de la peau sur le visage » (
Sottie des sots qui corrigent le Magnificat, 70 ds
Rec. Trepperel, Les Sotties, éd. E. Droz, p. 195);
3. a) 1556
rides marinières (
Belleau, Petites Inventions, La Tortue ds
Œuvres poétiques, éd. Ch. Marty-Laveaux, t. 1, p. 67);
b) 1690 (
Fur.:
ride, se dit aussi de ces plis et inégalités qui font qu'une chose n'est pas bien unie).
II. 1636 [éd.] mar. (
Cleirac, Explication des termes de mar., p. 16: les cordages qui amarrent l'esperon et le beaupré sont nommez
rides). Déverbal de
rider*.