RENTIER, -IÈRE, subst.
Étymol. et Hist. A. 1. 1
erquart
xiiies. adj. et subst. « (celui, celle) qui doit payer des rentes seigneuriales » (
Renclus de Molliens,
Charité, 83, 10 et
Miserere, 2, 8 ds T.-L.);
2. 1
erquart
xiiies. « celui qui encaisse les rentes » (
Id.,
Charité, 198, 3,
ibid.);
3. a) 1356 « possesseur de rentes » (
Reg. du chap. de S. J. de Jerus., Arch. MM 28, f
o43, r
ods
Gdf.);
b) 1755 « personne inactive vivant de ses rentes » (
Mirabeau,
Ami des hommes, t. 2, p. 511).
B. Ca 1463 « registre des rentes (en Bretagne) » (
Chron. du Mt St Michel, éd. S. Luce, t. 2, p. 256). Dér. de
rente*; suff.
-ier*.