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Ravaleur, subst. masc.attest. a) 1467 fig. « celui qui ravale, dénigre » (Georges Chastellain, Advertissement au duc Charles ds
Œuvres, éd. Kervyn de Lettenhove, t. 7, p. 326, var. ms. Bibl. nat. fr. 2689 [anc. 8349]: ingrat mescognoisseur de grans biens reçus, tempteur de sa vieillesse et ravalleur de ses glorieux vieux jours [de Philippe le Bon]), très rare après le xvies.; à nouv. 1831 (Chateaubr., Ét. ou Disc. hist., t. 4, p. 114); b) 1892 maçonn. (Guérin); de ravaler, suff. -eur2*.
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