RÉCEPTIF, -IVE, adj.
Étymol. et Hist. a) 1458
être receptif « recevoir » (
Arnoul Gréban,
Myst. de la Passion, éd. O. Jodogne, 3168); une autre attest. 1610 (
Champeynac,
Physique, p. 418 ds
Gdf.: il faut que toute faculté cogniscitive soit principe effectif et
receptif);
b) 1818
faculté réceptive (
Maine de Biran,
Journal, p. 192);
c) 1845 (
Michelet,
Journal, p. 605: Ces prétendus intuitifs, Alexandre, César, Christ, Napoléon ont été très
réceptifs, réflexifs). Dér. du lat.
receptum, supin de
recipere « recevoir », v. ce mot; suff.
-if*.