QUATRE(-)TEMPS,(QUATRE TEMPS, QUATRE-TEMPS) subst. masc.
Étymol. et Hist. 1. 1537
Quattre Temps « les trois jours de jeûne ordonnés par l'Église au début de chacune des quatre saisons de l'année » (Doc. ds
Annuaire-Bulletin de la Sté de l'Hist. de France, t. 11, 1874, p. 71);
2. 1912 technol. (
La Vie automobile, 432 ds
Fr. mod. t. 43, p. 53). Comp. de
quatre* et de
temps*. Au sens 1
cf. l'a. m. fr.
quatuortempre 1
remoit.
xiiies. (
Règle cistercienne, éd. Ph. Guignard, chap. 40, p. 446) −
ca 1349 (
Livre des Mestiers, éd. J. Gessler, M, p. 25a), du lat. médiév.
quattuor tempora «
id. » s.d. même réf. ds
Blaise Latin. Med. Aev.