PÂLOT, -OTTE, adj.
Étymol. et Hist. 1597
pallaux (
C. Foucault, Les Epistres amoureuses d'Aristenet [trad. du gr.], éd. A. Poulet-Malassis, p.76: Ceux qui sont noiraux tu les estimes masles, les blancs tu les nommes fils des Dieux. Mais le nom des jaunastres et
pallaux tu as opinion qu'il viene d'ailleurs que de ton Amour, qui déguise la palleur en quelque plus gratieux mot), empl. isolé; 1775
palot (
Mercier, La Brouette du vinaigrier, I, 5 ds
Proschwitz Beaumarchais, p.149). Dér. de
pâle*; suff.
-ot*.