PYRÈTHRE, subst. masc.
Étymol. et Hist. Ca 1256
piretre (
Aldebrandin de Sienne,
Le Régime du Corps, éd. L. Landouzy et R. Pépin, 72, 10). Empr. au lat.
pyrethrum, gr. π
υ
́
ρ
ε
θ
ρ
ο
ν, dér. de π
υ
̃
ρ « feu », à cause de sa saveur brûlante.
Cf. les var.
pele(s)tre, paletre avec dissim. des deux
r [fin
xies.
peletre (
Raschi,
Gl., éd. A. Darmesteter et D. S. Blondheim, t. 1, n
o790)];
xiiies.
pelestre (
Bausteine zur romanischen Philologie, Festgabe für Adolfo Mussafia zum 15. Februar 1905, p. 542); 2
emoit. du
xiies.
paletre (
Miracle Vierge, II, 25 ds T.-L.,
s.v. pelestre).