| PRUDERIE, subst. fém. Étymol. et Hist. a) 1666 « affectation de réserve et de bienséance (de la part d'une femme) » (Molière, Misanthrope, III, 5), qualifié de ,,terme assez nouveau`` par Bouhours en 1671 et de ,,mot barbare`` par Sorel, v. Livet Molière, s.v. prude; b) 1671 « acte de prude » (Mmede Sévigné, Lettres, éd. M. Monmerqué, t. 2, p. 267). Dér. de prude*; suff. -erie*. |