| PRIAPE, subst. masc. Étymol. et Hist. 1304 preape (Placides, ms. B.M. Rennes 593, 526 rob ds Mél. Horrent (J.), p.11); 1515 priape (Pierre Desrey, à la suite de Monstrelet, f. 113 ds La Curne); puis 1690 (Fur.). Du nom de Priape (lat. Priapus, gr. π
ρ
ι
́
α
π
ο
ς) dieu phallique des jardins chez les Grecs, assurant la prospérité, qui en vint à l'époque romaine à personnifier la virilité dans l'amour physique. |