POUDRIER, subst. masc.
Étymol. et Hist. I. Ca 1160 «poussière»
poldrier (
Eneas, 7006 ds T.-L.).
II. 1. 1561 «celui qui fait et vend la poudre à tirer»
pouldrier (
Isambert, Rec. gén. des anc. lois fr., 14, 94 d'apr.
FEW t.9, p.565a);
2. a) 1570 «boîte où l'on met la poudre à sécher l'écriture» (
Vente des biens de Jean Nagerel, archidiacre ds
Havard t.4);
b) 1671 «horloge de sable» (
Pomey);
c) 1788 «boîte à poudre à poudrer» (
Fér.);
d) 1812 «bocal dont les naturalistes se servent pour observer les insectes» (
Mozin-
Biber);
3. 1690 «celui qui fait et vend la poudre pour les cheveux» (
Fur.) −1771,
Trév. ,,celui qui vend la poudre pour les cheveux, et les poudres de senteur s'appelle parfumeur``. Dér. de
poudre*; suff.
-ier*.