PHILOLOGUE, subst.
Étymol. et Hist.1. 1534
philologe «celui qui aime les belles lettres, savant» (
Rabelais,
Gargantua, Prol., éd. M. A. Screech, p.17, 107);
2. 1816 «savant en matière de langue et de littérature» (
Raynouard,
Choix des poésies originales des troubadours, t.1, p.36). Empr. au lat.
philologus, -i «lettré, savant, érudit», du gr. φ
ι
λ
ο
́
λ
ο
γ
ο
ς «qui aime raisonner, discuter» puis «savant, érudit», comp. de φ
ι
́
λ
ο
ς «ami» et λ
ο
́
γ
ο
ς «paroles, propos», de λ
ε
́
γ
ω «bavarder, discourir» d'où «dire, raconter».