| PERCLUS, -USE, adj. Étymol. et Hist. 1. Ca 1240 « qui ne peut plus se mouvoir » (Saint François, 4144 ds T.-L.); 2. fig. 1536 « qui est frappé d'immobilité » (Roger de Collerye, 170 ds IGLF : je suis perclus par leurs voulloirs iniques). Empr. au lat. méd. du Moy. Âge perclusus (iiies. d'apr. FEW t. 8, p. 219b) part. passé de percludere « fermer entièrement » (Forc. t. 3), dér. de claudere « former », préf. per- à valeur intensive. |