PENDERIE, subst. fém.
Étymol. et Hist.A. [1525 «pendaison» (s. réf. ds
FEW t.8, p.175a, prob. d'apr.
La Curne qui cite les
Mém. de Robert de La Marck, seigneur de Fleuranges, p.433, composés en 1524-26 d'apr.
DLF 16e,
s.v. Fleuranges)] 1539 (
Est.).
B. 1. 1584
pendrie «lieu où l'on pend quelque chose» (
Compte des fortifications, 26
eSomme des mises, Arch. Tournai ds
Gdf. Compl.), attest. isolée pour ce sens;
2. a) 1802 mégiss. (
Nouv. dict. fr. -all. et all.-fr., Flick ds
FEW,
loc. cit.);
b) 1808 «perche où l'on étend les peaux» (
Boiste);
3. 1893 «placard, meuble ou pièce où l'on suspend des vêtements» (
DG). Dér. de
pendre*; suff.
-erie*.