PEINTURLURER, verbe trans.
Étymol. et Hist. 1628
peinturluré (J.
Olivier,
Alphabet de l'imperfection et malice des femmes, p.4 d'apr.
FEW t.8, p.430b); 1752
peinturlurer (
Trév.: ce mot s'emploie dans le style bas et bouffon); 1873
peinturlurée «(en parlant d'une femme) fardée à l'excès» (
Zola,
Ventre de Paris ds
OEuvres, éd. H. Mitterand, Paris, 1966, t.2, p.582). Altération plais. de
peinturer* d'apr. le mot onomat.
turelure*, la peinturlure étant à la peinture ce que la turelure est à l'art du chant, le rapprochement ayant de plus été facilité par l'identité entre la 1
resyll. de
turelure et la dernière de
peinture (
FEW t.8, p.431a, note 4).