| PASSERILLE, subst. fém. Étymol. et Hist. 1570 (Négociations de la France dans le Levant, éd. E. Charrière, t.3, p.131). Dér. à l'aide du suff. -(er)ille*, de l'a. fr. passe «séché, sec», att. dès le xiiies. dans l'expr. uve passe «raisin sec» (Guill. de Tyr, IX, 20, P. Paris ds Gdf. [lat. uva passa]) et comme subst. «id.» (Traité de faucon., Richel. 12581, fo84 ro, ibid.), du lat. passus, part. passé de pandere «faire sécher», propr. «étendre». |