PARCAGE, subst. masc.
Étymol. et Hist.1. Fin
xives. «endroit clos, enceinte»
parquaige (
J. Le Fèvre,
Chron., I, 360, Soc. Hist. de Fr. ds
Gdf. Compl.);
xves.
parcage «parc» (
Mém. de P. de Fenin, an 1423, Soc. de l'H. de Fr. ds
Gdf.), en m. fr. seulement;
2 a) 1611 «action de faire séjourner des moutons dans un parc» (
Cotgr.);
b) 1845-46 «méthode de fertilisation des sols par les déjections des moutons parqués de place en place» (
Besch.);
3. a) 1845 pêche «action de placer des coquillages (ici des huîtres) dans un parc pour les engraisser rapidemment» (
ibid. qui cite J. Lecomte);
b) 1903 «action d'agencer des filets et des clayonnages pour capturer les poissons de mer» (
Nouv. Lar. ill.);
4. 1949 «action de laisser en stationnement un véhicule automobile» (code élaboré par la Convention de Genève d'apr.
Vie Lang. 1957, p.78). Dér. de
parquer*; suff.
-age*.