PÉTILLEMENT, subst. masc.
Étymol. et Hist. 1. xves. «chatouillement» (
Trad. du traité de fauconnerie de l'emper. Frédéric II, ms. Paris 1296, 102, éd. G. Tilander ds
Z. rom. Philol. t.46, p.275); 1549 «palpitation» (
Est.);
2. 1611 «fait de crépiter» (
Cotgr.); 1636 «série de craquements secs» (
Monet); 1701 «bruit produit par un vin qui pétille» (
Fur.);
3. 1762
petillement de joie (J. J.
Rousseau, 3olett. à M. de Malesherbes ds
Littré); 1845 «éclat vif (des yeux)» (
Besch.). Dér. de
pétiller*; suff.
-ment1*.