| OEILLADE, subst. fém. Étymol. et Hist. Ca 1480 «coup d'oeil» en partic. «coup d'oeil furtif lancé à dessein en signe de tendresse, de bienveillance, etc.» petis oeullades (G. Coquillard, Monologue du Puys, 5 ds OEuvres, éd. M. J. Freeman, p.300); 1551 une oeillade languissante (Ronsard, Tombeau de M. de Valois, 15 ds OEuvres compl., éd. P. Laumonier, t.4, p.12). Dér. de oeil* étymol. A; suff. -ade1*. |