| NIOLLE1, subst. fém. Étymol. et Hist. 1846 (marchands du Temple ds Esn. 1966). Prob. issu de gniolle (« gifle » (1755 [éd.] J.-J. Vade, La Pipe cassée, 3eéd., p. 31 : Car le Diable me caracole Si je ne t'applique une gnole Qui tiendrait chaud à ton grouin), même mot que gnolle* et niolle2* « sans valeur, niais », la niolle étant un chapeau auquel on a donné une tape (v. FEW t. 7, p. 72a, note 10), plutôt que forme abrégée de torgniole « gifle » (v. FEW t. 7, p. 71a et t. 13, 2, p. 80b, note 103). |