| NAVREMENT, subst. masc. Étymol. et Hist. 1773 [éd.] «profonde tristesse» (Arnaud, Epreuves du sentiment, t.3, p.335); de nouv. 1831 navrement de coeur (Barthélemy, Némésis, XXXII, 13 nov., p.268 ds Fr. mod. t.22, 1954, pp.65-66). Dér. de navrer*; suff. -(e)ment1*. On trouve également navrement au sens fig. de «blessure» en 1524 (Guillaume Briçonnet, Marguerite d'Angoulème, Corresp., éd.. Chr. Martineau et M. Veissière, t.2, p.267). |