| MYURE, adj. Étymol. et Hist. 1765 miure, myure (Encyclop. t. 10). Empr. au lat. méd. miurus, myurus (Trév. 1721), lui-même empr. au gr. μ
υ
́
ο
υ
ρ
ο
ς «effilé» d'où «(pouls) dont les pulsations deviennent de plus en plus faibles» (Galien ds Liddell-Scott), littéralement «en forme de queue de souris», comp. de μ
υ
̃
ς «rat, souris» et de ο
υ
̓
ρ
α
́ «queue». |