MOITIR, verbe
Étymol. et Hist. [
Ca 1165 intrans. «devenir humide, moite, se faner»
erbes mestïes (
Benoît de Ste-
Maure, Troie, éd. L. Constans, 13844; v.
FEW t.6, 3, p.184b, note 4)]
ca 1265 intrans. «devenir moite, s'humecter» (
Brunet Latin, Trésor, I, 102, éd. F. J. Carmody, p. 85: Li airs ki est chaus et moistes [...] fait quire et
moistir la viande); 2
emoitié
xiiies. trans. «rendre humide (en parlant de la rosée)» (
Philippe de Beaumanoir, Chansons, III, 2, éd. A. Jeanroy ds
Romania t. 26, 1897, p. 526). Dér. de
moite*; dés.
-ir.