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LIÈVRE, subst. masc.
Étymol. et Hist. 1. Ca 1100 (Roland, éd. J. Bédier, 1780 : Pur un sul levre vait tute jur cornant); 1155 (Wace, Brut, 4738 ds T.-L. : Quant vient en guerre e en estur, Si semble lievre de pöur); ca 1176 (Chrétien de Troyes, Cligès, éd. A. Micha, 4500 : Malvés et coarz come lievres); 1316 (Geoffroy, Chron. métr., 692 ds T.-L. : ... a Mons em Pevre [Mons-en-Pevele] Où Flamenz füirent com lievre). 2. fig. a) ca 1200 (Poème moral, 338, ibid. : Cant il seit [li malz mïes] un riche home malement agrevet : « Or me vat bien », fait il, « un gras lievre ai trovet ». b) 1465 (G. Chastellain, Chron., éd. Kervyn de Lettenhove, t. 5, p. 276, 22 : vecy où git le lievre et le droit difficile du neud); 1663, 15 déc. lever un lièvre « être le premier à soulever une affaire » (Chapelain, Lettres, éd. Ph. Tamizey de Larroque, t. 2, p. 340 b). Du lat. lepus, leporis « lièvre ».