| KRAK, subst. masc. Étymol. et Hist. Ca 1195 crac (Ambroise, Estoire de la guerre sainte, éd. G. Paris, 7424 : le Crac de Mont Real); 1871 Krak (G. Rey, op. cit., p. 6 : le Krak des chevaliers, aujourd'hui Kalaat-el-Hosn). Empr. à l'ar.karāk « château fort », et celui-ci à l'araméen karkā, syriaque karko « place forte, ville ». |