CAGNEUX2, EUSE, KHÂGNEUX, EUSE, subst.
Étymol. et Hist. [1880 d'apr. le témoignage de J. Ronjat qui allait poursuivre ses études à Paris (
FEW t. 2, p. 186a et note 12, p. 188a); 1888 (
Esn.)]; 1906 (
J. Rivière, Alain-Fournier,
Correspondance, p. 258). Peut-être emploi de
cagneux1* pour désigner les élèves de la classe de préparation au concours de l'École normale supérieure, qui, à la différence des élèves des classes préparatoires aux écoles militaires, n'étaient pas tenus d'avoir une bonne constitution physique (d'apr.
Esn.).