| CAGNE2, KHÂGNE, subst. fém. Étymol. et Hist. [1888 d'apr. Esn.]; 1905 (J. Rivière, Alain-Fournier, Correspondance, p. 48). Prob. dér. régr. de cagneux2(Esn.). Une orig. par antiphrase à partir de cagne1qui désigne en arg. une personne paresseuse comme une chienne (A. Delvau, Dict. de la lang. verte, 1866) puis la paresse elle-même, notamment dans l'expr. avoir la cagne (L. Rigaud, Dict. de l'arg. mod., 1881) est moins probable. |