| JONCHAIE, JONCHERAIE, JONCHÈRE, subst. fém. Étymol. et Hist. 1. a) Ca 1150 jonchière « lieu où croissent des joncs » (Thèbes, éd. G. Raynaud de Lage, 3386); b) 1808 jonchère « touffe de joncs » (Boiste); 2. 1776 jonchaie « lieu où croissent des joncs » (Schmidlin Catholicon); 3. 1926 joncheraie « lieu où croissent des joncs » (H. Béraud, Le Bois du Templier pendu, part. 1, ch. 3, 28 ds Quem. DDL t. 18). Dér. de jonc*; suff. -(i)ère*, -aie*, -eraie, forme élargie du précédent. |