IRRÉCOUVRABLE, adj.
Étymol. et Hist. Cf. début
xves. [ms.] le dér.
irrecouvrablement ([P.
Le Fruitier dit
Salmon]
Traict., ms. Genève 165, fol. 250 r
ods
Gdf. : Tresors perdus
irrecouvrablement);
1. 1416-28 « irrémédiable, irréparable »
chose inrecouvrable (
Christine de Pisan,
Epistre de la prison de vie hum., éd. S. Solente ds
Bibl. Ec. chartes, t. 85, 1924, p. 283);
2. fin
xves. « dont on ne peut reprendre possession » cont. milit.
ville irrecouvrable (
Commynes,
Mém., éd. J. Calmette, V, 17 [avr. 1477], t. 2, p. 203). Dér. de
recouvrable*; préf.
in-1*.