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IRRITABILITÉ, subst. fém.
Étymol. et Hist. 1. 1755 physiol. (Condillac, Traité des animaux, p. 447, note ds Gohin, p. 272 : une dissertation de M. Haller sur l'irritabilité); 1756 (S. Tissot [trad. de A. de Haller], Diss. sur l'irritabilité d'apr. le Catal. gén. des impr. de la Bibl. nat.); cf. 1769 (L'Année littér., t. 7, p. 239 ds Mack. t. 1, p. 176b : Mais il [Glisson] n'a pas désigné ce phénomène par une expression claire. Le mot irritabilité ne l'explique pas et il a été diversement interprété); 2. ca 1778 (Abbé Royou ds Fér. Crit. 1787 : d'une irritabilité peut-être trop grande [de J.-J. Rousseau]). 2 empr. au lat. imp. irritabilitas « irritabilité, susceptibilité ». Le terme de physiol. (1) : lat. sc. irritabilitas, forgé par le médecin angl. Fr. Glisson dans son Tractatus de natura substantiae energica, 1672, a été utilisé par les médecins suisses A. von Haller (1708-77), cf. supra et J.G. Zimmerman (1728-95), v. NED; le terme apparaît en 1755 à la fois en fr., supra, et en angl. chez l'anatomiste R. Whytt (1714-66) en réf. à Haller, NED.