INTERCEPTION, subst. fém.
Étymol. et Hist. 1. a) 2
emoitié
xiiies. « action d'intercepter » (
Introductoire d'astronomie, B.N. 1353, f
o48 v
ods
Gdf.
Compl.);
b) 1755 mar. (D'
Argenson,
J. et mém., t. 9, p. 54 : l'
interception de notre riche flotte des Indes); 1952 aviat. (
Lar. mens., mai, p. 66b : un monoplace d'
interception);
c) 1937 sports
(L'Auto, loc. cit.); 2. ca 1370 « action d'arrêter dans son cours, dans sa marche » (
Gui de Chauliac,
Grande chirurgie ds
Sigurs, p. 64); 1478 (
Guidon en françois, f
o187,
ibid., p. 354 : deseichement et
interception de la matiere reumatique). Empr. au lat.
interceptio « soustraction, vol; interruption ».