IMPOLITESSE, subst. fém.
Étymol. et Hist. [Sans précision de sens] 1647 (
Vaug., p. 569 : ... car en parlant, on sçait bien qu'il y a de certains mots que l'on peut former sur le champ, comme brusqueté, inaction,
impolitesse); 1687 (
Rem. sur la lang. fr. de M. de Vaugelas, nouv. éd. avec des notes de T. Corneille, t. 2, p. 1034 : Je m'apperçoy qu'
impolitesse commence fort à s'établir);
1. 1658 « manque de culture intellectuelle » (
Costar,
Lettres, II, 47 ds
Brunot t. 4, pp. 481-82);
2. 1694 « manquement aux règles de la politesse » (
Boursault,
Mots à la mode, I, 3 ds
Littré). Dér. de
politesse*; préf.
in-
1*.