IMPERTINENCE, subst. fém.
Étymol. et Hist. 1. 1533 « non-convenance, non-pertinence » ([
Martial d'Auvergne]
Arrêts d'Amour, éd. 1533, LIII ds
Gdf. [Arrêt apocryphe, v. éd. J. Rychner, p. XLI]);
2. 1555 « ce qui est hors de propos » (J.
Peletier du Mans,
Art poétique, éd. A. Boulanger, p. 144);
3. 1660 « parole, attitude, acte irrévérencieux » (
Molière,
Sganarelle, 1);
4. 1678 « caractère de ce qui est volontairement choquant » (
La Fontaine,
Fables, VIII, 18). Dér. de
impertinent*; suff.
-ence (
-ance*).